Congrès International : « Décoloniser les Savoirs Pour Repenser l’Afrique
Congrès International : « Décoloniser les Savoirs Pour Repenser l’Afrique et les Diasporas Africaines »
Le colloque international co-organisé par les laboratoires GERAHA de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis et MUNTÚ de Howard University autour du thème « Décoloniser les savoirs pour repenser l’Afrique et les Diasporas africaines » s’est tenu du 22 au 25 Mai 2024 au CEA-MITIC en présence du Pr Djidiack Faye, Directeur de l’UFR LSH, d’enseignants-chercheurs venus de divers horizons et d’étudiants. La cérémonie d’ouverture a été présidée par le vice-recteur, Pr Mamadou Abdoul DIOP, représentant le recteur empêché.
« Ce colloque international reflète la volonté affirmée de nos deux institutions de collaborer scientifiquement sur des problématiques transversales et fédératrices de projets de recherches » a confié le Pr Djidiack FAYE, rappelant que ces panels vont aborder des sujets variés, allant des sciences humaines à la sociologie, en passant par l’histoire et la littérature. C’est en ce sens que la recherche en lettres et sciences humaines a été mise en avant comme un moyen de contribuer au développement socio-économique et à la prise de conscience collective. Selon le Pr Djidiack FAYE, les échanges de ces trois jours vont permettre d’identifier de nouveaux paradigmes pour une véritable décolonisation en Afrique.
Pour sa part, le vice-recteur, Pr Mamadou Abdoul DIOP a salué l’importance de ce colloque qui profite aux étudiants, aux enseignants-chercheurs dans leur domaine respectif. « C’est l’occasion de vous enrichir, de vous construire et de vous projeter intellectuellement » a déclaré le vice-recteur, rappelant l’ambition de l’UGB d’être un hub qui place l’Afrique et sa diaspora au cœur de la réflexion sur le devenir de nos sociétés. A ce sujet, souligne-t-il « cette thématique interpelle sur la contribution des savoirs africains, diasporiques dans la décolonisation des discours sur les identités. Ainsi, l’UGB, creuset de réflexions, s’engage toujours dans la mise en œuvre des politiques et programmes de recherche qui engagent notre souveraineté intellectuelle.
Des panels riches et variés ont marqué ces trois d’intenses réflexions.
