⇒ UFR Civilisations, Religions, Arts et Communications (UFR CRAC)

• Parcours/Options: 
  1. Recherche
  2. Professionnelle
• Types de formations : Formations initiales

PRESENTATION

La Licence Sciences Sociales des Religions de la Section Centre d’Étude des Religions de l’UFR CRAC offre une préparation théorique, épistémologique et méthodologique aux études approfondies dans les sciences sociales appliquées au domaine du fait religieux, ainsi qu’une préparation aux métiers ou professions susceptibles de faire appel à ces compétences. Ce positionnement dans l’offre de formation de l’Université Gaston Berger se traduit donc par deux possibilités outre l’entrée en Master de Sciences Sociales des Religions :

• La première, toujours académique, est l’entrée dans d’autres offres de formation, grâce notamment au système d’unités capitalisables (Socio-Anthropologie, Histoire, Philosophie, Science politique, Communication, Métiers du patrimoine, Relations internationales). 
• La seconde, plutôt professionnelle, est l’entrée dans une large palette de filières et de métiers qui sollicitent une bonne connaissance des enjeux du religieux, notamment dans des contextes et domaines liés au développement, à la sécurité humaine ; aux métiers de l’éducation, du patrimoine, de la communication, mais aussi aux carrières dans les métiers de la médiation.

La Licence Sciences Sociales des Religions (LSSR) est née dans un contexte institutionnel national de consolidation des réformes de la politique éducative au Sénégal, notamment l’introduction dans les écoles publiques de l’enseignement du religieux, à travers la création d’écoles publiques franco-arabes pilotes et la mise en œuvre de politiques de modernisation des daaras. Ce contexte a été et continue aussi d’être marqué aux plans régional et international par de fortes demandes d’expertises sur les enjeux et faits religieux à l’échelle planétaire et singulièrement dans le Sahel. 

La présente réforme de la LSSR tient compte de l’évolution du cadre institutionnel, notamment des recommandations générales de l’Agence National Qualité (ANAQ) pour une plus grande ouverture des formations à « la préparation des étudiants au monde de l’(auto)entreprise ». Elle tient aussi compte des enseignements tirés du processus d’accréditation du Master Sciences sociales des religions (2017), notamment sur l’absorption par le marché du travail des produits de notre formation. Ces enseignements montrent que les diplômés de notre formation sont absorbés par trois pôles : la recherche et l’enseignement supérieur au Sénégal ou à l’étranger, le monde de l’(auto)entreprise et les espaces institutionnels. Les concours liés aux professions de la justice, de la police et à divers métiers et corps de l’administration sont également notables dans les sorties avant la fin de la formation ou juste après la formation. 

La nouvelle LSSR insiste sur le renforcement des capacitations en lien avec l’ensemble de ces contextes et enseignements précités. 

CONCEPTION

Tenant compte de la faiblesse notoire du niveau de la culture générale, ainsi que de celui des compétences linguistiques à l’oral comme à l’écrit, des primo rentrants à l’université, la LSSR est conçue de telle sorte à prendre en charge le défi de la mise à niveau, sans sacrifier le temps de la formation universitaire proprement dite. 

La conjugaison de ces deux impératifs vise à assurer la formation la plus complète possible, permettant à l’étudiant de disposer d’un cursus progressif, intégrant la maîtrise du langage de la formation et de ses règles de base éthiques et déontologiques, les notions de base des différentes disciplines des sciences humaines et sociales, et une compréhension dynamique des enjeux classiques et contemporains du fait religieux, à travers des géographies et des axes thématiques qui sont les domaines d’excellence des enseignants-chercheurs du CER. 

La LSSR est marquée, sur les deux premières années, par l’objectif d’être un cycle préparatoire, essentiellement consacré à une programmation intensive d’obligations de lectures et de tâches d’écritures, mais aussi d’acquisitions des compétences linguistiques nécessaires au suivi de la formation, à travers des UE obligatoires, des UE complémentaires et des UE de renforcement.  

• Les UE majeures ou obligatoires.

Elles sont un bloc qui traverse la formation du semestre 1 au semestre 5, à travers des EC qui sont affinés au fur et à mesure de l’évolution de la formation. Ce bloc est consacré aux compétences linguistiques, aux conventions d’écritures et à la culture générale et scientifique. 

• Les UE mineures ou complémentaires

Ce bloc traverse également la formation du semestre 1 au semestre 5, à travers des EC qui permettent la découverte des disciplines des sciences sociales et humaines et leurs traitements du fait religieux d’une part, et d’autre part la découverte d’une palette de filières et de métiers qui sont des débouchés potentiels pour la formation, à travers des rencontres avec des professionnels.

• Les UE de renforcement

Elles sont aussi un bloc qui traverse la formation du Semestre 1 au semestre 5, à travers des EC suffisamment renforcés pour une maîtrise effective de l’anglais obligatoirement, en plus d’une langue africaine au choix (selon l’offre disponible), mais aussi des techniques informatiques et audio-visuelles de base. 

Arrivé au semestre 6, l’étudiant a déjà été largement informé et préparé au choix entre la réalisation d’un mémoire de recherche (Parcours Recherche S6A) ou d’un stage en milieu professionnel (Parcours Professionnel S5B).

OBJECTIFS

Structurée sur trois années, la Licence offre un parcours d’acquisition qui vise les objectifs principaux suivants :

• une solide compétence linguistique, notamment dans le domaine de l’expression écrite et orale, mais aussi une solide compétence dans le domaine des techniques et conventions d’écritures aussi bien en milieu académique, que professionnel ;
• une solide culture générale et scientifique, notamment autour de l’histoire ancienne moderne et contemporaine de l’Afrique et du monde, mais aussi autour de l’histoire et du développement des sciences humaines et sociales appliquées au fait religieux ;
• une solide introduction aux méthodes et pratiques de l’enquête en sciences sociales ;
• une solide préparation à une spécialisation disciplinaire ou professionnelle ;
• une consistante préparation aux géographies et axes thématiques qui charpente la formation au niveau du Master.

DEBOUCHES

• PARCOURS DE RECHERCHE

- Poursuite du cursus : Master Sciences sociales des religions

- Poursuite du cursus : spécialisation disciplinaire dans les différentes branches des sciences humaines et sociales

• PARCOURS PROFESSIONNEL

- Médiation interculturelle

- Enseignement et métiers de l’éducation 

- Conseil et aide à la décision 

- Métiers de l’information et de la communication

- Développement communautaire

CONDITIONS D’ADMISSION

• Être titulaire d’un baccalauréat de l’année en cours.

MAQUETTE

  CRAC-Maquette-Licence-SSR.pdf

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• Parcours/Options : 
  1. Littératures
  2. Socio-anthropologie
  3. Sciences du langage
• Types de formations : Formations initiales

PRESENTATION

La licence tient à l’africanité comme l’une de ses principales marques. Il s’agit, notamment, de donner aux enseignements théoriques et pratiques un contenu et une dimension suffisamment africains en vue de l’enrichissement, de la promotion et de la protection de la diversité culturelle tout en veillant à tenir l’ensemble de ces activités ouvertes aux préoccupations du Sénégal, de l’Afrique et du monde. 

Autour d’une langue africaine donnée, trois axes d’enseignement sont ainsi privilégiés : l’étude de la langue en question (compréhension, expression écrite, grammaire), l’étude des littératures (orales et écrites) en cette langue et l’étude de l’histoire et de la culture des locuteurs de cette langue. 

La licence se décline en trois parcours : Littératures, socio-anthropologie et Sciences du langage, après une spécialisation dès le début de la formation en une langue africaine bien déterminée. 

La licence compte s’enrichir de l’organisation d’évènements culturels consolidant dans l’africanité (workshops en arts, littératures, etc. ; vernissages ; festivals ; prestations plus individuelles d’hommes de culture ; etc.), avec l’intervention d’enseignants-chercheurs, de praticiens professionnels et d’autres personnes ressources.

OBJECTIFS

La formation vise la transmission d’un ensemble de connaissances, mais aussi de savoir-faire, sur les langues, les littératures et les civilisations africaines. Ses principales orientations sont les suivantes :

• l’usage des langues africaines codifiées (incluant naturellement l’apprentissage de telles langues par l’étudiant en début de formation), l’introduction des « partenariats linguistiques » et de « l’intercompréhension linguistique » ;
• la valorisation des littératures endogènes, à la fois orales et rédigées en langues africaines ;
• l’apprentissage des civilisations africaines en vue d’éclairer sur les aires culturelles, les mouvements migratoires et l’histoire africaine de manière générale (empires, royaumes, etc.).

DEBOUCHES

Le titulaire de la licence est en mesure de s’investir dans la recherche dans le domaine des langues et cultures africaines. Il peut aussi s’orienter vers des métiers comme la traduction, l’interprétation, la supervision de programmes de développement, l’alphabétisation en langues africaines ou la formation de formateurs en langues africaines.

CONDITIONS D’ACCÈS ET D’ADMISSION

Le titulaire de la licence est en mesure de s’investir dans la recherche dans le domaine des langues et cultures africaines. Il peut aussi s’orienter vers des métiers comme la traduction, l’interprétation, la supervision de programmes de développement, l’alphabétisation en langues africaines ou la formation de formateurs en langues africaines.

EQUIPE PÉDAGOGIQUE

L’équipe pédagogique de la licence « Langues, Littératures et Civilisations Africaines » est composé des enseignants permanents de la section Langues et Cultures Africaines, du personnel administratif, technique et de service, des intervenants externes et d’autres collaborateurs du mondes professionnel.

MAQUETTE

  CRAC-Maquette-Licence-LCA.pdf

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• Parcours/Options: 
  1. Gestion du Patrimoine et des Institutions Culturelles
  2. Médiation Culturelle
• Type de formation : Formations initiales

PRÉSENTATION 

Le patrimoine revêt pour tous les pays une importance singulière au vu des divers enjeux culturels, politiques, économiques, environnementaux et symboliques qui lui sont liés. Cette importance a été très  tôt  reconnue  par  la  communauté  internationale  qui,  depuis  la  naissance  en  1921  de  la Commission Internationale de la Coopération Intellectuelle, ancêtre de l'Unesco, n'a cessé d'œuvrer pour sa promotion, sa mise en valeur, sa protection, sa préservation et sa sauvegarde dans l'intérêt des  générations  actuelles  et  futures.  Dans  cet  élan,  le  continent  africain,  à  travers  quelques  rares universités et institutions de formation, s'efforce de former des ressources humaines pour intégrer la culture et le patrimoine culturel comme des axes majeurs de développement durable.  

Suite au rattachement du Centre de Recherches et de Documentation du Sénégal (CRDS) situé dans l’île,  l'Université  Gaston  Berger  de  Saint-Louis  du  Sénégal  a  saisi  cette  opportunité  en  vue  de participer  activement  à  la  formation  d'une  expertise  africaine  et  internationale,  reconnue  et recherchée,  dans  les  domaines  de  la  gestion  du  patrimoine,  des  institutions  culturelles  et  de  la médiation culturelle.   

Ainsi,  la  Section Métiers du Patrimoine  (MDP)  de  l’UFR  des  Civilisations,  Religions,  Arts  et Communication (CRAC) a inauguré ses activités d’enseignement et de recherche au début de l’année universitaire  2012/2013  avec  une  offre  de  formation  de  niveau  Licence.  Pilotée  par  une  équipe pluridisciplinaire  et  d’intervenants  extérieurs,  universitaires  et/ou  professionnels  hautement qualifiés, la section, après une promotion, révise sa maquette. 

La Licence Métiers du Patrimoine révisée a bénéficié du concours de l’Unesco-Breda, avec la mise à disposition  d’une  experte  commise  pour  aider  à  la  révision  de  la  maquette  de  Licence  et  à  la proposition d’une maquette de Master, en conformité avec les standards internationaux. La licence propose deux (2) parcours qui s’articulent comme suit : 

• Un tronc commun sur quatre semestres puis une spécialisation à partir du 5ème semestre. 

1. Parcours 1 : Gestion du patrimoine et des institutions culturelles  

2. Parcours 2 : Médiation culturelle 

• Les enseignements dispensés sont autant théoriques que pratiques. 

1. Théorie :  définitions,  réflexions  et  approches  du  patrimoine  à  travers différentes  disciplines  telles  que  l’architecture,  l’archivistique,  l’histoire  de  l’art,  la géographie, l’aménagement, l’anthropologie, l’histoire, les langues et civilisations.. 

2. Pratique : visites de sites patrimoniaux, relevés de terrain, fouilles archéologiques, mise  en  situation  professionnelle  autour  des  collections  et  réserves  muséales, photographie,  cartographie,  infographie, 

OBJECTIFS DE LA FORMATION 

• Former des étudiants et des professionnels aptes à la gestion d’une institution du patrimoine (sites classés, monuments historiques, musées, archives et bibliothèques nationales, centres et instituts de recherche, centres de conservation du patrimoine matériel ou immatériel…). 
• Former des étudiants  capables de  communiquer  avec  différents publics  à  travers des  collections (ouvrages, photographies, immeubles, sites historiques, objets, sites naturels et paysages culturels). 

PRINCIPAUX DÉBOUCHÉS

Institutions, instituts et centres de recherche, musées publics et privés, grandes galeries d’exposition, bibliothèques, archives et centres de documentation, bureaux d’études et d’architecture, entreprises de travaux publics, ministères, collectivités locales, organisations internationales, organisations non gouvernementales …   

DURÉE DE LA FORMATION

• 6 semestres

PERSPECTIVES SCIENTIFIQUES 

Des  collaborations  scientifiques  à  différentes  échelles  (nationale,  régionale,  intercontinentale)  et selon des modalités variées  (échanges universitaires, édition...) ainsi que des partenariats avec des professionnels du patrimoine (stages, prestations, consulting) sont en cours dans la section MDP.  

NOMBRE DE PLACES

Il  dépendra  du Ministère  chargé  de  l’enseignement  supérieur. Mais  le  nombre  restera  néanmoins limité afin d’assurer une  formation de qualité et de  répondre  clairement aux objectifs  initialement fixés. 

CONDITIONS D’ADMISSION ET PUBLIC VISÉ

• La Licence Métiers du Patrimoine est ouverte aux titulaires du baccalauréat de l’année en cours ou  d’un  diplôme  équivalent  témoignant  d’un  intérêt  marqué  envers  les  questions  relatives  au patrimoine.

MAQUETTE

  CRAC-Maquette-Licence-MDP.pdf

⇒ UFR Lettres et Sciences Humaines (UFR LSH)

• Parcours/Options: 
  1. Écosystèmes et Environnement
  2. Espaces et Sociétés rurales
  3. Espaces et Sociétés urbaines
• Types de formations : Formations initiales

MAQUETTE

  LSH-Maquette-Licence-GEO.pdf

⇒ UFR Lettres et Sciences Humaines (UFR LSH)

• Parcours/Options: 
  1. Sociologie du Développement
  2. Sociologie de la Famille et de l’Éducation
  3. Sociologie du Travail et des Organisations
• Types de formations : Formations initiales

RAPPORT DE PRÉSENTATION 

La Section de sociologie offre un programme d’enseignement en Licence et en Master à la fois fondamental et professionnalisé au fur et à mesure que la formation se poursuit. Le principe qui a guidé la formulation de cette offre pédagogique est la conformité aux décrets régissant la réforme LMD (surtout concernant les charges de travail, l’affectation des crédits et les unités d’enseignement transversales) mais également, la mise à disposition de compétences permettant à l’étudiant de pouvoir se démarquer dans un marché du travail de plus en plus compétitif. De la Licence I au Master II, la structure indicative du programme est composée d’UE majeures, d’UE mineures optionnelles, d’UE libres optionnelles, d’UE de renforcement. Ces UE structurent les Parcours.

Les UE majeures, de la Licence 1 au Master 2, sont centrées sur l’Histoire de la sociologie, les Mathématiques et Informatiques Appliquées aux Sciences Sociales, la Méthodologie, l’Anthropologie et l’Épistémologie. A partir de la Licence III, certains domaines des sciences sociales et humaines sont introduits tels l’élaboration et la gestion des projets, la démographie, la psychologie, l’étude des représentations sociales.

Les UE mineures optionnelles sont diversifiées à chaque semestre et préparent les étudiants dès la Licence I à opérer un choix raisonné de leur parcours à partir de la L3. Trois parcours sont offerts aux étudiants de sociologie : Développement, Travail et Organisation, Famille et Education. Diverses problématiques sont renseignées à ce niveau : relations professionnelles, développement, rapports sociaux de sexe, sociologie de la santé, environnement, eau, socialisation, communication, monde associatif, genre, jeunesse, sociologie religieuse, la question des identités, la migration… Les UE mineures libres concernent des domaines tels la psychologie, la géographie, la philosophie, les sciences politiques, l’économie. Les UE de renforcement dont certaines sont offertes par l’UFR, concernent des domaines tels : Anglais, Histoire de l’Afrique, Techniques de l’expression, Sports-santé-sociétés, Droit. 

LES PARCOURS OU SPÉCIALITÉS

Les parcours démarrent de la Licence III au Master II et offrent l’opportunité de spécialisations diverses susceptibles de permettre à l’étudiant de se mouvoir tant dans le monde professionnel que dans le domaine de la recherche.

• Le parcours Développement initie les étudiants à diverses problématiques du développement: l’analyse des politiques et stratégies de développement, la décentralisation, le développement local/ territorial, le  développement durable, les outils de gestion des territoires tels la planification locale, l’économie populaire, sociale et solidaire, les innovations sociales, les questions de la jeunesse, les pratiques et métiers du développement territorial, l’évaluation sociale et environnementale.
• Le parcours Famille et Education est structuré autour de diverses problématiques telles : les nouvelles formes de sociabilité, le genre, la sociologie de l’éducation, les migrations, les mutations de la famille, les politiques publiques en santé et en famille, les politiques et système de protection sociale, les métiers et pratiques en famille et éducation.
• Le parcours Travail et Organisation met l’accent sur le management organisationnel, les relations professionnelles, le syndicalisme, le monde de l’industrie et des entreprises, les TIC et médias, le secteur informel, l’artisanat, la sociologie de l’emploi, la sociologie des associations, la mondialisation et les mouvements sociaux, les nouveaux métiers et innovations socio-professionnelles.

Les enseignements dans ces divers parcours témoignent d’un souci perceptible d’offrir une large gamme de compétences en vue de favoriser l’insertion des étudiants dans le domaine de la recherche comme sur le marché du travail. Cette double préoccupation se justifie amplement dans un contexte où la licence III constitue désormais un diplôme devant permettre de trouver un emploi. 

L’ÉTUDE DE CAS ET LE MÉMOIRE DE MASTER II

La formation en sociologie est riche de beaucoup d’enseignements en méthodologie et ceci, depuis la première année. Soucieuse de former des sociologues de terrain capables d’appréhender divers faits sociaux, la formation prévoit des travaux de terrain de la LIII à la MII sous forme respectivement d’étude de cas, de projet de mémoire et de mémoire en MII. C’est ainsi que l’étude de cas en Licence III et le mémoire de master II constituent des UE majeures. Par ailleurs, un cours dénommé Chantiers sociologiques a été introduit en guise de stage collectif de terrain en vue de permettre aux étudiants de bénéficier de sorties pédagogiques pratiques. Enfin, le souci de professionnalisation justifie l’offre de cours tels l’élaboration et la gestion de projets, les outils d’intervention sociologique, les outils d’analyse spatiale…

LES DÉBOUCHÉS

Les trois parcours offrent suffisamment de compétences à la fois théoriques, méthodologiques et pratiques devant permettre aux étudiants dès la licence, de pouvoir embrasser divers types de métiers dans le monde universitaire, dans la fonction publique, les collectivités locales, dans le secteur privé, dans les projets/ programmes des partenaires au développement. En tout état de cause, l’étudiant en sociologie peut choisir dès la Licence III entre la poursuite d’études en master de recherche, en master professionnel ou tout simplement aller sur le marché du travail.

MAQUETTE

  LSH-Maquette-Licence-SOCIO.pdf