Licence 3 en Analyses Biologiques (LABIO-3) pour la première cohorte
📢 𝐀𝐩𝐩𝐞𝐥 𝐚̀ 𝐂𝐚𝐧𝐝𝐢𝐝𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐋𝐢𝐜𝐞𝐧𝐜𝐞 𝟑 𝐞𝐧 𝐀𝐧𝐚𝐥𝐲𝐬𝐞𝐬 𝐁𝐢𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 (𝐋𝐀𝐁𝐈𝐎-𝟑) 𝐚̀ 𝐥'𝐔𝐧𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐭𝐞́ 𝐆𝐚𝐬𝐭𝐨𝐧 𝐁𝐞𝐫𝐠𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐒𝐚𝐢𝐧𝐭-𝐋𝐨𝐮𝐢𝐬 !
Licences
Types de formations : Formation Initiale
PRESENTATION
Le Département Communication (COM) est rattaché à l’Unité de Formation et de Recherche des Civilisations, Religions, Arts et Communication (UFR CRAC) de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (Sénégal).
L’UFR CRAC comprend, par ailleurs, cinq (5) autres Départements :
Le Département COM propose une formation en sciences de l’information et de la communication (SIC). Non enseignées dans le Secondaire, les SIC se caractérisent par leur interdisciplinarité. Elles visent à la découverte de savoirs et de savoir-faire dans des domaines aussi divers que la communication des organisations, la communication politique, la gestion de l’information, les technologies de la communication et l’étude des médias. Cette liste non exhaustive traduit la richesse de la discipline qui conduit à des secteurs d'emploi actuellement en plein développement. Par ailleurs, s’il est vrai que la communication est incontournable aujourd’hui, utilisée de façon optimale, elle peut constituer un avantage concurrentiel pour les entreprises, les organisations, les collectivités en quête de performance.
Le Département Communication prépare ses étudiants à assurer des responsabilités dans tous les domaines relatifs à la communication. Cette formation répond ainsi à un double objectif :
LE PREMIER CYCLE (LA LICENCE)
La Mention de Licence est la première étape d'un cursus complet de diplômes nationaux en Sciences de l’Information et de la Communication (S.I.C). Elle aborde les enjeux de l’information et de la communication mais aussi les pratiques professionnelles du domaine. La formation met l’accent sur :
La formation est composée de 6 semestres. Les enseignements sont constitués de cours magistraux (C.M), de travaux dirigés (T.D), de travaux pratiques (T.P) et de stages destinés à permettre une première expérience d’insertion professionnelle.
A partir du semestre 5, c’est-à-dire de la L3, trois parcours de spécialisation sont proposés :
Ce parcours vise à préparer les étudiants aux domaines de la communication des entreprises et des organisations. Celui-ci repose essentiellement sur la communication interne et externe dans la recherche d’efficacité et la poursuite des objectifs de notoriété, de visibilité, d’image ou de rentabilité. Il s’agit ainsi de former des étudiants capables d’articuler des savoirs stratégiques fondamentaux et des savoirs faire au service de la politique de communication des organisations.
Ce parcours est conçu pour doter les étudiants des méthodes, concepts, théories et stratégies adéquats à la connaissance et l’accompagnement des organisations publiques et parapubliques dans leurs fonctions. Il insiste sur les deux composantes essentielles des SIC : l’information et la communication en tant qu’instruments de valorisation de l’action publique. Les étudiants sont préparés à réaliser des stratégies adaptées aux besoins de l’État, des collectivités territoriales et de leurs partenaires stratégiques (ONG, fondations, associations, universités, écoles, partenaires internationaux, etc.).
Ce parcours a pour vocation de former des étudiants dans la création numérique et la communication à partir des supports multimédias. La présence très marquée des nouveaux médias dans notre quotidien et les possibilités créatives qu’ils offrent
La Mention de Licence est la première étape d'un cursus complet de diplômes nationaux en Sciences de l’Information et de la Communication (S.I.C). Elle aborde les enjeux de l’information et de la communication mais aussi les pratiques professionnelles du domaine. La formation met l’accent sur :
- des enseignements théoriques et les fondamentaux de la communication ;
- des cours orientés sur la connaissance du monde de l’entreprise, des dispositions légales appliquées aux domaines étudiés ;
- des démarches pratiques, d’analyse, de diagnostic, d’audit, de création et d’innovation ;
- des compétences numériques en graphisme, collecte de données, animation de réseaux et de pages web.
DEBOUCHES
Après l’obtention de la Licence en Communication, l’étudiant diplômé peut travailler en entreprise, dans les départements ministériels, dans les collectivités locales, dans les organisations non gouvernementales (O.N.G), dans les organisations de la société civile (O.S.C), en agence de communication, etc. De manière plus précise, la formation permet aux étudiants diplômés de s’orienter vers les métiers suivants : Assistant de communication, Attaché de presse, Journaliste d’entreprise, Chargé de communication événementielle, Chargé de communication interne, Concepteur rédacteur, Community manager, etc.
LE STAGE ET LE PROJET PROFESSIONNEL DE L’ETUDIANT
Le stage au Département Communication est un impératif pour les étudiants de la licence 2 et ceux de la licence 3.
Dans sa volonté de familiariser les étudiants au monde professionnel, un stage d’une durée d’un (1) mois est obligatoire pour les étudiants en deuxième année de licence. Cette première expérience permet à l’étudiant d’imprégner le milieu du travail et de mettre en pratique la théorie enseignée pendant les cours. Les dates de stage sont communiquées en début d’année par la Département. Il est important de respecter le délai imparti. A la fin du stage l’étudiant, dans une logique académique, l’étudiant doit présenter un rapport de stage.
Dans l’hypothèse où l’étudiant ne trouve pas de stage, et sur présentation de justificatifs, l’opportunité lui est donnée travailler sur son projet professionnel.
Le projet professionnel de l’étudiant (P.P.E) s’inscrit comme une alternative à la réalisation du stage obligatoire en licence 2 Communication. Il ne le remplace nullement car l’immersion au sein d’une organisation s’avère fondamentale pour une meilleure appréhension des différents enjeux des métiers de l’information et de la communication. Cependant, le but ici est de proposer aux étudiants une méthodologie d’accompagnement dans la construction de leur projet professionnel.
En troisième année de licence, le stage doit durer trois (3) mois. Il n’y a pas de seconde option contrairement pour la licence 2 avec le projet professionnel. Avec un temps plus long, l’objectif est de favoriser l’insertion des étudiants dans le marché du travail. Il est possible de faire deux stages dans deux entreprises différentes. Les stages peuvent être effectués dans des entreprises, organisations non gouvernementales (ONG), communes, départements, associations, etc.
A la fin du stage l’étudiant, dans une logique académique, l’étudiant doit présenter un rapport de stage devant un jury pour une durée maximale de 20 minutes.
Pour aider les étudiants dans leurs recherches de stage, le Département Communication établit des lettres de recommandations pour les étudiants. Aussi, une base de données des stages propose une liste de structures ayant déjà accueilli des étudiants de la Département, par le passé. Il est consultable au niveau du Secrétariat du Département.
LES MASTER CLASS, PROJET TUTORE ET COMMUNICATION EVENEMENTIELLE
En licence 3, au-delà du stage, les étudiants sont amenés à mettre en pratique leurs compétences théoriques à travers trois (3) modules au programme.
Les master class sont l’occasion de favoriser les rencontres entre les professionnels et les étudiants. Les activités proposées sont très formatrices et concentrées sur une semaine. C’est le moment pour les étudiants de renforcer certaines compétences et de découvrir d’autres univers. Plusieurs ateliers sont proposés : théâtre, montage, photo, conception site web, diction et créativité, etc. Des sorties pédagogiques à Dakar ou dans les environs de Saint-Louis sont aussi au programme et permettent de stimuler la culture professionnelle des étudiants.
Dans le cadre des projets tutorés, les étudiants s’organisent en groupe et choisissent un tuteur pour élaborer un projet au service de la communauté. C’est dans ce cadre que la base de données de gestion des stages a été réalisée.
Les manifestions organisées dans le cadre du module « Communication événementielle » ont fait la réputation de la Département COM. Tous les ans, encadrés par les enseignants permanents, les étudiants font preuve de créativité et d’engagement pour mener à bien les activités. Nuit de l’Excellence, Nuit de la Publicité, Journée d’actions citoyennes, « Sargal ceebu waalo », Journée mondiale de la Liberté de la Presse (JMLP), etc. sont autant d’événementiels qui mettent les étudiants en situation de gérer un projet de communication.
MAQUETTE
Type de formation : Formation initiale
Résumé du projet
La licence en infographie est un projet à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Sont formés des concepteurs, techniciens, designers qui, avec les outils des nouvelles technologies de la communication, produisent des services ou des produits dont la qualité graphique et artistique rapproche la communication visuelle d’une entreprise d’un oeuvre d'art.
Peut faire acte de candidature tout bachelier, étudiant ou professionnel titulaire d’un BAC ou d’un diplôme équivalent. Cette Licence s’appuiera sur une expertise avérée de formateurs provenant du monde Socioprofessionnel.
Analyse du contexte et de la pertinence
L’infographie est une spécialité liée aux domaines de l'image, du design et du graphique. Elle désigne l'ensemble des techniques de l'information par l'image destinées au public.
La infographie englobe deux grandes familles de métiers :
- Les métiers des industries graphiques qui sont essentiellement techniques.
- Les métiers de la conception visuelle à dominante artistique.
Le journal du matin, le sachet de croissants du boulanger, la boite de lait, le roman sur la table, le mailing dans le courrier, la carte de visite du banquier, l’affiche de concert, les places de cinéma, le générique 2D ou 3D d’un film, le clip vidéo, la pochette de l’album, la photo de magazine, la publicité à la télé , le packaging de vos nouvelles sneakers, les décors sur les murs, le design 3D d’une maquette, le design du site de commande en ligne, la dernière application sur votre Smartphone, le sac de vos habits préférées, le logo sur l’avion, l’étiquette de votre nouveau sweatshirt...
Ces projets sont tous passés par un professionnel en infographie ; en somme entre les mains d’un artiste.
À chaque minute de notre vie, nous regardons et nous identifions des messages. La mission d’un professionnel est de transformer un objet quelconque en un objet qui se différencie des autres. Sa vision aide le monde à communiquer. Tant qu’il y aura des produits, des messages à partager, des entreprises ou des associations, il y aura des infographes !
Les performances des logiciels qu’ils utilisent sont telles que les concepteurs peuvent être de véritables créateurs d'une réalité virtuelle ou bien dans d'autres circonstances, ils peuvent suivre un cahier des charges et appliquer les spécifications qui y sont définies.
Dans la société d'aujourd'hui, celle de l'information et de la communication, ils représentent un groupe de plus en plus important. Leur rôle s'est considérablement accru avec le développement d'internet. Un média nouveau du point de vue communication est très exigeant. Dans ce secteur, les créateurs et les artistes les plus classiques ne seront pas ignorés.
Ils sont toujours les représentants d'idées et de concepts novateurs souvent à l'origine de créations originales.
Les professionnels des industries graphiques fabriquent tout type de documents (livres, affiches, catalogues, emballages, etc.) conçus par des infographes Les premiers s'appuient pour cela sur un savoir-faire pointu qu'un éventail de formations permet d'acquérir. Dans ce secteur on accède à des postes tels que chef d'atelier, conducteur de machines à imprimer, sérigraphe...
Comparativement, les infographes ont des parcours plus variés et plus ouverts. Le nombre d'autodidactes diminue significativement, au profit des diplômés d'école d'art ou d'art appliqués. Outre le fait d'être imaginatif, il faut savoir manier tant le crayon que la souris ou le stylet de la tablette graphique. Parmi les métiers possibles : graphiste bien entendu mais aussi illustrateur, designer ; directeur artistique qui gère une équipe de graphistes et apporte son style à tout type de créations.
Enfin, l'informatique a contribué à la naissance de nouveaux métiers dans le domaine de l’art et de la communication visuelle tels que l'animateur 3D qui crée des images de synthèse pour des productions audiovisuelles ou cinématographiques par exemple. Citons aussi l'infographiste, le concepteur réalisateur multimédia... Et bien entendu le webdesigner sans lequel les sites Internet seraient d'une grande austérité et impersonnels.
C’est l’une des rares licences qui ne forme pas de diplômés chômeurs et qui ont la possibilité de faire un Master.
En parfaite phase avec la nouvelle politique de l’état qui se veut être un Sénégal émergent. Le 17 juin 2015 fut le jour fatidique tant attendu par les professionnels du secteur de la télévision pour le passage de l’analogie au numérique en Afrique. Au Sénégal, on a assisté au début d’un processus par les autorités en charge de la question pour couvrir l’ensemble du territoire national.
En effet, la technologie numérique dont il s’agit ici est une opportunité à saisir pour booster le développement économique, culturel et social de notre pays. Elle résulte plus exactement du développement des technologies de l’information et de la communication (TIC).
L’avènement de cette technologie numérique, à l’instar du développement industriel qui s’est opéré dans le monde en général et en Europe en particulier a entraîné des bouleversements économiques culturels et sociaux profonds.
Au même titre que le développement de la mécanisation et de la robotisation dans les industries manufacturières qui a réduit fortement l’effort, le temps de travail et le nombre d’ouvriers qui était employé dans les usines ; le numérique en tant que technologie tout en créant certes de nouveaux emplois menacent également de disparition certains métiers tels que le preneur de son et le monteur dans le secteur de la télévision en pratique.
A la télévision, une équipe de reportage était traditionnellement composée d’un journaliste, d’un cameraman et d’un preneur de son. Ce qui veut dire que chacun d’entre les trois avait une spécialité et un travail bien précis dont il était seul responsable. Le travail de chacun était complémentaire au travail de l’autre. L’élément de reportage était la résultante d’un travail de collaboration de trois spécialistes.
Le développement du matériel technique, c’est-à-dire de la caméra qui passe de l’analogie au numérique et du matériel de son a facilité sans nul doute, aujourd’hui, la prise de vue et la prise de son avec comme conséquence immédiate la diminution du nombre des membres d’une équipe de reportage de trois ou quatre par équipe, ils vont passer à deux. En effet grâce à la formation de pointe reçue par un étudiant en infographie, il pourra remplacer les deux autres.
Cependant, on doit souligner qu’à côté du développement de la technologie et du matériel technique de prise de vue et de son à l’origine de l’ostracisme actuel du preneur de son dans une équipe de reportage de télévision, on peut également évoquer d’autres facteurs ayant éventuellement favorisés cette exclusion tels que : le déficit de ressources humaines et l’incapacité des chaines de télévision à employer davantage de personnes.
L’image, la lumière et le son sont le fondement principiel de l’Arts et Métiers de la Communication Visuelle. Ces trois éléments (image, lumière et son) sont intrinsèques, dépendants et complémentaires.
Parlant du monteur, il est un technicien chargé du montage d’un film, d’une émission ou d’un reportage etc. Par ailleurs, le montage vidéo consiste à sélectionner des images enregistrées et à les assembler en une suite cohérente. En somme, le montage, c’est l’une des étapes de postproduction dans la réalisation d’un documentaire, d’un téléfilm, d’un reportage vidéo et d’un film d’animation.
Au niveau du montage vidéo, là aussi, force est de constater que l’évolution de la technologie c’est-à-dire le numérique a entraîné des mutations importantes et dans l’apprentissage et dans l’exercice du métier de monteur vidéo. Depuis les années 2000 et avec l’avènement de la technologie numérique, le cinéma exploite le montage numérique dans une version spécifique, notamment en Haute Définition.
Pour le montage des reportages dans le cadre de la pratique journalistique au niveau de la télévision, de plus en plus on observe que le journaliste qui a appris à monter se passe des services du monteur pour ses éléments. Cette tendance est en phase de devenir sporadique.
Est-ce que par manque de moyens des chaines de télévision ou par réalisme ou par volonté d’indépendance du journaliste.
Or, ce 21ème siècle qui a vu naître le développement extraordinaire des technologies de l’information et de la communication est marqué fortement par la vitesse et la compétition. L’entrée dans nos vies individuelles et collectives, ces technologies ont créé en même temps la dépendance de ses usagers.
Avec l’ouverture et l’éclatement du paysage médiatique et le développement des chaines de télévision au Sénégal, on assiste à une course effrénée au scoop et à l’audimat. Ainsi donc, dans un environnement caractérisé par un besoin accru des populations en matière d’information, par la vitesse, et par une âpre compétition entre chaines de télévision, et devant le temps d’attente consenti en salle de montage pour monter ses éléments de reportage, les journalistes du secteur de la télévision semblent appliqué désormais cet adage « n’attends pas de quelqu’un ce que tu peux faire toi-même».
Ainsi, on observe que ceux qui savent monter, montent eux-mêmes leurs éléments de reportage. En résumé, si cette tendance continue et se développe, sans un recrutement conséquent des chaines de télévision de monteurs en nombre suffisant, et de matériel de montage « le monteur de reportage » risque de disparaître. Et il va rester sans nul doute « le monteur de film, du journal et des émissions ».
Cette polyvalence de l’étudiant en infographie évoquée ci-dessus est à saluer par ce qu’elle assure son autonomie et son efficacité dans le cadre de son travail. C’est le cas des infographes, des webmasters, des photographes et des animateurs 2D ou 3D des chaines de télévision.
Les TIC ont substantiellement chamboulé l’exercice du métier du journaliste qui du coup ne devient plus le seul à donner l’information aux populations autrement dit à informer celles-ci de ce qui se passe au sein de la société. Avec l’internet, et avec l’apparition de sites web et de blog, fournir et accéder à l’information sont devenus plus démocratiques. Ce n’est plus l’œuvre d’un seul corps ou d’une seule personne.
Chacun peut informer selon sa cible. Aujourd’hui, les téléphones portables permettent non seulement de donner de l’information par le bais du transport de la voix mais aussi des images aux télévisions. Mais, grâce à la technologie et à l’habillage TV, le graphiste rendra ces moments agréables pour le consommateur sénégalais.
Devant tous ces bouleversements intervenus dans le secteur de l’information et de la communication visuelle induits par l’avènement des TIC, quelle doit être la place d’un étudiant en infographie dans le secteur de l’audiovisuel, l’édition, des sites web et des cabinets d’architecture.
MAQUETTE
Types de formations: Formations initiales
EXPOSÉ DES MOTIFS
Le Département Communication (COM) est rattaché à l’Unité de Formation et de Recherche des Civilisations, Religions, Arts et Communication (UFR CRAC) de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (Sénégal).
La culture est devenue aujourd’hui un secteur économiquement viable à forte valeur ajoutée. Ainsi « grâce à la libéralisation de la radio et de la télévision et à la commercialisation, la marge de progression du secteur de la culture à l’échelle mondiale serait de l’ordre de 10% c'est-à-dire beaucoup plus élevée que dans beaucoup d’autres secteurs industriels et commerciaux ».
Cette tendance se confirme considérablement comme le montre très bien le rapport de la Commission Européenne en date du 26 septembre 2012 qui cherche explicitement à « Promouvoir les secteurs de la culture et de la création pour favoriser la croissance et l’emploi dans l’Union européenne »
Si dans les pays développés, elle génère un flux financier considérable et s’interroge sur les nouveaux contours de la compétitivité et de l’attractivité économique, par contre dans les pays à faibles revenus, elle demeure quantité négligeable dans les politiques de développement. Cet état de fait s’explique, selon, Colin Mercer, par « une mauvaise appréhension ou même une reconnaissance incomplète de l’objet de nos réflexions, la culture » qui, ailleurs, fait l’objet de beaucoup d’attention en termes de recherches qui en saisissent pleinement la portée et guident la décision politique.
En choisissant d’enseigner et de former dans les métiers des arts et de la culture dans le cadre de l’UFR-CRAC, l’Université Gaston Berger veut doter ce secteur d’une expertise avérée susceptible d’en faire un véritable vecteur de développement en phase avec les exigences de la mondialisation.
Il convient de remarquer que la diversité et la richesse de la culture en Afrique en font une denrée précieuse. Aussi faudrait-il en tirer le meilleur profit. Les besoins de formation et les offres de débouchés professionnels sont réels et prometteurs. Ainsi, il est question de mettre en place une formation académique et un apprentissage de qualité dans les arts du spectacle, les arts visuels etc. qui :
Cette formation aux métiers des arts et de la culture répond parfaitement aux besoins en cadres (dirigeants d’entreprises culturelles, chargés de projets, chargés de mission etc.) exprimés par les organisations professionnelles privées du secteur, du Ministère de la culture et par les collectivités locales.
OBJECTIFS
La section des métiers des arts et de la culture vise les objectifs suivants :
La section s’organise autour de quatre modules :
PUBLIC VISÉ
CONDITIONS D’ADMISSION
DÉBOUCHÉS
Avec la rareté voire l’absence des structures de production, de réalisation et de distribution dans la société, cette formation ouvre de réelles perspectives d’entreprises et d’emplois dans les métiers touchant aux domaines des arts et de la culture.
Il y a aussi des possibilités de spécialisation dans l’écriture critique, dans la critique d’art et le montage de galeries.
La formation pourrait conduire à des métiers tels que :
Manager des entreprises culturelles et artistiques, éditeur, gestionnaire de projet culturel, conseiller artistique, promoteur de spectacle, producteur, réalisateur, scénariste, ingénieur de son, créateur en publicité, cinéaste, designer...
STAGES ET PERFECTIONNEMENT
Les stages de perfectionnement sont obligatoires parce qu’indispensables dans un secteur qui nécessite du savoir-faire. Ils peuvent être effectués tant au niveau national qu’international. Les possibilités de signer des conventions avec des structures de production et de réalisation existantes au niveau national ou international susceptibles d’accueillir les apprenants se présentent comme de riches occasions de capitaliser des expériences et possibilités de pratiques concrètes sur des plateformes de création, de production, de réalisation et de distribution.
CORPS ENSEIGNANT
Deux types de profils sont retenus :
PARTENAIRES CIBLÉS
Ministère de la culture, BSDA, Ecole Nationale des Arts, les services culturels des chancelleries, les départements et/ou facultés, centres de recherche qui s’intéressent aux arts et à la culture.
CHAIRE DE LA SECTION
Intitulé : Chaire des métiers des arts et de la culture.
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Types de formations : Formations initiales
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Types de formations : Formations initiales
PREAMBULE
Les relations très dynamiques de coopération entre le Sénégal et l’Espagne ont permis la création, en décembre 2010, de la Section de Langue Espagnole et de Civilisations hispaniques à l’UFR de Lettres & Sciences Humaines de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis. Cela a été accompagné par un financement de l’Agence Espagnole de Coopération Internationale pour le Développement (AECID) pour un montant de Cent Cinquante Mille (150 000) Euros.
La nouvelle structure de formation, tant attendue par l’Université Gaston Berger, avec l’appui de l’Université Complutense de Madrid (Partie espagnole es garante auprès de l’AECID), répond à un besoin pressant de la grande communauté d’hispanisants de la région de Saint-Louis, du Sénégal et de la sous-région ouest-africaine. Elle est la première en Afrique du Sud du Sahara, étant donné que jusqu'en 2010, l’espagnol est enseigné dans des structures universitaires où il coexiste avec d’autres langues souvent romanes.
LES OBJECTIFS
La Section de Langue Espagnole et de Civilisations hispaniques a pour ambition de :
LES CIBLES ET LES DÉBOUCHÉS
- L’enseignement dans les établissements publics et privés du Moyen et du Secondaire ;
- L’accès à la formation de Traducteurs et d’interprètes ;
- La préparation à la recherche dans le domaine des études hispaniques sous les angles littéraire et linguistique ;
- Attaché culturel ;
- Consultant en projets de développement culturel ;
- Attaché d’Edition littéraire & linguistique ;
- Guide culturel et littéraire ;
- Etc.
DURÉE DE LA FORMATION
La Licence se prépare en trois (3) années de L1, L2 et L3.
CAPACITÉ D’ACCUEIL
La Section reçoit soixante-dix (70) bacheliers par an, un effectif qui peut varier avec l’accueil d’étudiants salariés et/ou étrangers (10% pour chaque groupe). L’augmentation de l’effectif est à envisager en fonction de l’évolution de l’UGB et de sa montée en puissance.
SPECIALTITÉ DE LA FORMATION
De la première année (L1) à la troisième (L3), la formation est plus générale et porte sur la pratique de la langue, les littératures (espagnole, hispano-américaine et afro-hispanique), la linguistique, l’art espagnol et hispano-américain, les études francophones, sans oublier les disciplines transversales recommandées par le RESAO.
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Types de formations: Formations initiales
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Types de formations: Formations initiales
RAPPORT DE PRESENTATION
La filière « Langues Etrangères Appliquées » constitue l’une des nouveautés de la jeune Université de St-Louis qui a ouvert ses portes en 1990.
L’ouverture de celle-ci qui existe depuis environ plus d’une décennie dans certaines universités françaises et, à quelques différences près, en Grande Bretagne, répond au besoin urgent pour l’Université Sénégalaise d’innover en matière de formation afin d’offrir aux futurs diplômés de meilleures perspectives de débouchés, dans un marché du travail de plus en plus sélectif.
Dans cette même optique, qui passe nécessairement par une meilleure adéquation formation/emploi, la filière L.E.A. a une vocation essentiellement professionnelle, une orientation ouverte sur le monde de l’entreprise.
Elle vise un double objectif :
LES SPECIALITES :
L’accent est particulièrement mis sur la micro-économie, le marketing, la fiscalité, la comptabilité/gestion, l’informatique, la gestion des ressources humaines, le droit des affaires et les mécanismes et procédures des activités d’import et d’export.
Dans ce domaine les compétences linguistiques des étudiants de L.E.A. constitueront un atout majeur pour l’entreprise soucieuse d’aller à la conquête de marchés étrangers.
Dans ce domaine la connaissance de la langue, de la culture et de la civilisation des pays d’origines des touristes potentiels seront également d’un apport considérable.
En vue d’atteindre ces objectifs, la filière Langue Etrangères Appliquées (L.E.A.) de l’université Gaston Berger de Saint-Louis reste très ouverte sur le monde de l’entreprise. Des professionnels hautement qualifiés de ce secteur sont étroitement associés à l’élaboration des programmes et de la définition des contenus pédagogiques.
LE STAGE EN ENTREPRISE
C’est dans ce souci de donner à notre formation un caractère encore plus pratique et plus proche des réalités de l’entreprise que le stage a été introduit comme unité d’enseignement obligatoire à l’échelle de la Licence.
Il vise à offrir à l’étudiant(e) une première expérience des réalités de l’entreprise dans tous ses aspects, notamment par l’observation concrète du déroulement au sein de l’entreprise des activités de son domaine de spécialisation.
Le stage devrait également permettre à l’étudiant de mettre à la disposition de son entreprise d’accueil, ou d’y parfaire, ses capacités de communication multilingue pour les besoins de (correspondance commerciale, téléphone, traduction, interaction avec des partenaires non francophones, rédaction de différentes sortes de documents).
L’évaluation que les entreprises feront du niveau de connaissances techniques et linguistiques et surtout de leur adéquation à l’exécution des tâches assignées par celles-ci et les suggestions éventuelles, nous permettront de réajuster, de renforcer ou d’adapter nos contenus pédagogiques dans le sens d’une meilleure compatibilité avec les besoins réels de l’entreprise.
APERÇU SUR LE PROFIL DES POSTES DE STAGES
PROFIL D’ENTRÉE :
LES COMPETENCES VISÉES :
Le diplômé en LEA (Master/ Licence) doit être capable de :
PROFIL DE SORTIE (Débouchés)
La formation en LEA prépare aux métiers suivants :
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Types de formations: Formation Professionnelle
MAQUETTE
Types de formations: Formations Professionnelle
OBJECTIFS DE LA FORMATION
La formation permet aux futurs professionnels du tourisme de maîtriser les nouveaux outils de communication et de distribution pour pouvoir élaborer un projet E-tourisme. Le développement des technologies se traduit par l’émergence de nouveaux métiers tels que la gestion d’informations touristiques, l’animation de réseaux d’information, l’assistanat en informatique touristique et TIC, la vente spécialisée dans le commerce électronique...
Les compétences recherchées par cette formation sont : la capacité
Les catégories professionnelles visées sont : Les étudiants ayant terminé un BTS de tourisme (Bac+2), les agents de comptoir et agents de réservation des agences de voyages (en particulier les agences réceptives), les responsables d’agence, les personnels des offices de tourisme, les comités régionaux du tourisme, les entreprises de création de supports multimédias.
ANALYSE DU CONTEXTE ET DE LA PERTINENCE
De nouveaux développements sont notés dans l’industrie touristique d’aujourd’hui : par exemple, les offres sont diversifiées, les rapports avec les milieux socioéconomiques, les TICs sont mieux suivies, les acteurs concernés sont davantage préoccupés par les impacts positifs de ces avancées technologiques sur le tourisme. En somme, il y a un véritable changement de perspectives, qui, aujourd’hui, plus que par le passé intègrent de nouveaux paradigmes de management et de développement du tourisme. Aussi, le projet d’ouverture d’une licence en TIC appliquées au tourisme est à la fois pertinent et opportun.
Le Sénégal est un carrefour de rencontres internationales, donc une plate-forme touristique sous-régionale où l’étudiant, le professionnel, après sa formation, aura non seulement plus d’opportunités d’insertion, mais trouvera un cadre d’expérimentation et d’épanouissement socioprofessionnel.
Analyse de la pertinence socio-économique : La fulgurance touristique et le potentiel de développement qui caractérisent l’offre sénégalaise constituent un réel prétexte pour cette formation qui devra contribuer à une meilleure prise en charge du défi communicationnel du tourisme local.
Il y a au Sénégal un besoin fort de s’adapter à l’évolution des technologies du numérique. L'adoption massive des TIC en tourisme, depuis quelques années, a eu pour effet de créer une course de vitesse entre divers opérateurs du tourisme pour rejoindre le client (agences de voyages, hôtels, etc.) ; elle a entraîné une réduction des barrières à l'entrée en ce qui concerne la commercialisation des produits du voyage et a permis l'insertion de nouveaux acteurs dans l’e-tourisme. La réduction de l'écart numérique en tourisme devient un objectif vital à atteindre au plus tôt.
C’est dans cette perspective que le pays s’est résolument inscrit dans l’ère de l’économie numérique avec une forte volonté́ politique de se positionner de plus en plus comme un leader en Afrique subsaharienne.
Au regard de l’immensité du potentiel touristique qui reste à valoriser dans notre région ouest africaine en général et au Sénégal en particulier, en plus de l’offre de formation en tourisme, la spécificité de la mise en exergue des technologies permettrait à notre pays d’atteindre un des objectifs de développement : la croissance et la modernisation fondée sur les TICs.
En outre, cette formation va davantage étayer l’offre nationale avec des spécialités innovantes et compétitives du point de vue numérique et nettement plus avantageux en terme de recherche d’emploi, puisque correspondant à un besoin crucial pour les entrepreneurs ou opérateurs, les collectivités territoriales, les agences de vente et de distribution, ainsi que les institutions qui encadrent l’activité comme les syndicats, les communes et les offices de tourisme.
Analyse de la pertinence scientifique du projet : L’offre de formation reste en adéquation avec les exigences du domaine du tourisme et celles des sciences humaines, sociales, économiques et de gestion et des technologies. Elle tient compte des objectifs décrits plus haut en ce qui concerne les différentes unités d’enseignement à savoir le webmarketing et la communication, le développement et la gestion de projets web, le développement et la valorisation des projets touristiques.
Analyse de la pertinence systémique et institutionnelle : Le programme vise à
DESCRIPTION DU PROJET DE PROGRAMME
Les modalités d’apprentissage répondent aux exigences du système LMD. Les enseignements théoriques seront renforcés par des études pratiques sur le terrain et des rencontres avec les différents acteurs du secteur touristique et celui des technologies.
DEBOUCHES PROFESSIONNELS
Les débouchés majeurs de la formation sont classés comme suit :
CONDITIONS D´ACCES
Cette formation s’adresse à toute personne souhaitant faire carrière dans le secteur du tourisme tout en se spécialisant dans les nouvelles technologies. Il s’agit notamment des nouveaux bacheliers, des étudiants ayant obtenu un BTS (brevet de technicien supérieur) en tourisme, en informatique, en gestion ou un diplôme équivalent ayant trait à la communication, à la commercialisation, au marketing, à l’informatique, et pouvant justifier d’une expérience professionnelle dans le domaine de l’hôtellerie ou du tourisme (stages, emplois temporaires ou saisonniers...)., aux étudiants ayant validé une deuxième année dans une formation en langues étrangères appliquées au tourisme, aux professionnels du secteur touristique en formation continue.
L’admission à la Licence se fait sur examen des dossiers et entretien avec le candidat.
DUREE DE LA FORMATION
La formation en Licence dure 3 ans, ce qui équivaut à 6 semestres de scolarité.
MAQUETTE
"Plongez dans un monde de connaissances et de créativité"
📢 𝐀𝐩𝐩𝐞𝐥 𝐚̀ 𝐂𝐚𝐧𝐝𝐢𝐝𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐋𝐢𝐜𝐞𝐧𝐜𝐞 𝟑 𝐞𝐧 𝐀𝐧𝐚𝐥𝐲𝐬𝐞𝐬 𝐁𝐢𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 (𝐋𝐀𝐁𝐈𝐎-𝟑) 𝐚̀ 𝐥'𝐔𝐧𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐭𝐞́ 𝐆𝐚𝐬𝐭𝐨𝐧 𝐁𝐞𝐫𝐠𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐒𝐚𝐢𝐧𝐭-𝐋𝐨𝐮𝐢𝐬 !
Appel et descriptif de l’école d’été 2025
2 au 4 juin 2025 à l’Université de Lausanne, Suisse
📢 𝐀𝐩𝐩𝐞𝐥 𝐚̀ 𝐜𝐚𝐧𝐝𝐢𝐝𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐌𝐚𝐬𝐭𝐞𝐫 𝐞𝐧 𝐆𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐁𝐢𝐞𝐧𝐬, 𝐝𝐞𝐬 𝐒𝐢𝐭𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐈𝐧𝐬𝐭𝐢𝐭𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐮 𝐏𝐚𝐭𝐫𝐢𝐦𝐨𝐢𝐧𝐞 𝐚𝐮 𝐃𝐞́𝐩𝐚𝐫𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐌𝐞́𝐭𝐢𝐞𝐫𝐬 𝐝𝐮 𝐏𝐚𝐭𝐫𝐢𝐦𝐨𝐢𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝐥'𝐔𝐅𝐑 𝐂𝐑𝐀𝐂 𝐚̀ 𝐥'𝐔𝐧𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐭𝐞́ 𝐆𝐚𝐬𝐭𝐨𝐧 𝐁𝐞𝐫𝐠𝐞𝐫 𝐝𝐞 𝐒𝐚𝐢𝐧𝐭-𝐋𝐨𝐮𝐢𝐬 ! 🎓
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